C'est l'histoire d'un jockey et d'un cheval de course. Cet équipage perd systématiquement et arrive toujours dernier.
Un jour, le jockey perd patience et dit à son cheval: bon, cette fois-ci ou tu gagne et tout ira bien ou je t'envoie à la ferme. Fais gaffe...là-bas on se lève à 4 heure du mat et tu mangera comme un "chien"
Le jour de la course les deux compères sont en tête, soudain à la dernière ligne droite ils deviennent deuxième puis troisième etc... Jusqu'à la lamentable dernière place. Hors de lui le jockey hurle:
- Mais c'est pas possible tu pouvais pas gagner pour une fois!!!
Le cheval répond:
- Oh! Mollo, mollo je me réveille a 4 heures demain matin...

le candidat idéal serait, selon Robespierre, la réunion chez le même homme - ou la même femme (je rajoute) - dans une proportion absolument égale, des "vertus" et des "talents"...mais les premières sont "infiniment plus nécessaires" que les seconds. C'est la vertu qu'il faut chercher surtout, parce que l'"énergie d'une âme élevée et pure est la principale source de saines idées politiques".

En juin 1791, Robespierre fixait les qualités nécessaires pour former un bon représentant du peuple; il faut être très circonspect et ne pas se laisser séduire par des promesses démagogiques. Si, une fois dans sa vie, un homme s'est montré lâche ou impitoyable, dans quelque condition qu'il ait vécu, ne balancez point à le rejeter. (n'hésitez pas à l'éliminer).

celui-ci est un umpiste sarkozyste, je lui demande de relayer à ses funestes amigos: "Craignez ces serpents qui s'insinuent auprès de vous... et se flattent à l'avance d'avoir préparé vos décisions. Craignez ces hommes dont la fausse modération, plus atroce que la plus affreuse arrogance, vous tend continuellement des pièges. Mais autant que la duplicité des malveillants il faut redouter la faiblesse des honnêtes gens qui par leur attitude indécise facilitent les machinations infernales des ennemis de la liberté."